11 Febbraio, rimanere in Cambogia alla fine. Passiamo la nostra ultima mattina a chiacchierare con il proprietario di attesa di Bandini per il tuk-tuk che ci deve portare alla carica bus Champa Mekong. Siamo andati intorno alle 10:30 del mattino e mentre attendiamo mezzo agli altri passeggeri futuri, un giovane che viene da me e mi chiede una serie di questioni : “Sei Francese ?”, che era facile da indovinare con l'ascolto di me parlare, “Sei in Cannes ?”, “Sei andato al Liceo Carnot ?”, Congratulazioni ah lì, Come ha fatto ? ! Si scopre che questo giovane ha una memoria migliore per le facce di me e siamo stati al liceo con lo stesso periodo, Probabilmente nella stessa classe. Il mondo è decisamente piccola ! L'incontro è il benvenuto, come si vedrà un momento, autobus con più di un'ora di ritardo.
In realtà bus, si tratta di un minivan che cambogiana vuole assolutamente riempire, nonostante il fatto che non v'è sicuro e che tutti i passeggeri corso minima per una grande borsa da viaggio ! Riescono a stipare noi in qualche modo e siamo in tre ore di distanza, senza climatizzatore, verso Phnom Penh. Nous ne sommes pas peu satisfaits d’arriver en ville pour enfin nous extraire du mini-bus et choisir un chauffeur de tuk-tuk qui nous amène à notre dernier hôtel dans un quartier de la ville différent de celui où nous avons passés nos premières nuits. Nous sortons pour déguster notre dernier repas khmer et en pleine capitale arrivons à trouver un restaurant où aucun des serveurs ne parlent un mot d’anglais. Allez essayer de leur faire comprendre que je ne mange ni viande, ni poisson ! Nous souvenant d’une anecdote que l’on nous a raconté, nous tentons de dessiner ce que l’on essaye de dire, mais même ainsi nous ne sommes pas vraiment sûrs que le message est passé 😀 , è in ultima analisi un cliente cambogiana che viene in soccorso e tradotto l'ordine a noi. Questo ci ricorda la nostra produzione in Ayutthaya dove è anche in un ristorante in città che avevamo trovato il Thai non parla inglese.
la notte scorsa, ultima mattina, lasciamo l'hotel intorno a mezzogiorno Lalune, aver ricordato il nostro tuk-tuk autista di ieri, che ci porta verso l'aeroporto in poco meno di un'ora, virata nel traffico di capitale, prendendo in prestito piccoli vicoli nascosti che cercano di guadagnare miglia su arterie congestionate. aeroporto di Phnom Penh non è molto grande, l’enregistrement des bagages se fait sans souci et nous dépensons nos derniers riels dans des petits sandwichs pensant qu’en deux heures de vol nous n’aurons pas de repas. Mais comme sur le vol entre Singapour et Perth il y a quatre ans, nous avons la surprise d’avoir un repas gratuit sans être trop sûrs de savoir comment cela est arrivé, le mien étant labellisé végétalien. 😮 Peut-être lors de la réservation des billets – tiens j’en profite pour vous parler d’un moteur de recherche français : MisterFly, qui contrairement à beaucoup d’autres vous affiche dès le début le prix réel que vous paierez pour un billet d’avion. Le seul bémol étant qu’ils ne semblent pas couvrir encore toutes les compagnies et encore moins les low-cost, ça vaut parfois le coup d’aller directement sur le site de la compagnie aérienne pour ces derniers. Très bon service client également (et non nous ne sommes pas sponsorisés pour dire ça, nous avons juste eu une bonne expérience ! 😛 )
Mais je ne vous ai même pas dit où nous allions ! En deux heures, vous pouvez vous douter que ce n’est pas loin. 😉 C’est à Singapour que nous atterrissons, mais cette fois-ci nous ne resterons pas dans son confortable aéroport et passons la douane pour aller attraper le métro qui nous amène en centre-ville. Piuttosto che stare solo poche ore in aeroporto, abbiamo optato per una notte in città-stato. Abbiamo già fatto un giro 2015, , Avendo avuto quattro giorni di sosta nei primi avventure Diaries Backpackers – che non è stato chiamato anche bene ! – è stato dieci anni fa e ha voluto rivisitare e scoprire il colorato quartiere di Clarke Quay e il pub Pazzo Elephant. Grande male mi ha portato, inizialmente rassicurato dal calore è sopportabile, scopriamo la nostra camera microscopica settanta dollari di Singapore – quasi 40 € – au Chinatown BP Inn, che cambiamo radicalmente camere e prezzi Cambogia. Non importa, nous partons à pieds en direction de Clarke Quay qui n’est pas très loin et marchons au milieu des restaurants et bars de tout genre. Nous trouvons le Crazy Elephant et décrochons nos mâchoires en voyant le prix des boissons. Nous savions que Singapour ne serait pas donné, più 17 dollars la pinte – 10€ – ça pique les yeux ! Nous nous contentons d’un demi pour deux et repartons vers notre auberge, ne pouvant se permettre de passer la soirée ici. Les bières sont plus abordables dans les 7/11 et c’est dans la rue de l’hôtel que nous trouvons un petit restaurant tranquille aux multiples plats à prix abordables, et même si leur Snow Beer est un peu légère, elle ne fait que quatre dollars – 2,5€ – la pinte. 😎
Je m’arrêterais là pour ce petit article très verbeux mais ne vous impatientez pas, le prochain avion est réservé depuis longtemps et nous venons de prendre deux tickets de bus pour Brunswick Heads…
PS. : la photo d’article n’est pas de moi, merci pixabay.com, bibliothèque de photos libres de droit.
Damn, ça me rappelle que j’ai oublié deux bières dans le réfrigérateur de l’hostel ! Singapore… La ville où l’on se demande ce qui n’est pas interdit, la ville dans laquelle il n’y a pas de balayeurs, l’on attrape les feuilles avant-même qu’elles ne touchent le sol ! J’extrapole, mais d’aucun pourrait lécher le bitume et les trottoirs du coin si d’aucun aimait ça 😉
J’ai bien aimé Singapour… Au moment du décollage* 🙂
*Pour aller ailleurs hmm… Mystère…
Ron, tu as laissé deux bières chez moi aussi, mais n’aie crainte elles ont été bues !
Vous faites du teasing d’un épisode à l’autre maintenant ?
C’est pour nous rendre accroc à vos aventures !?
Baci
Stai attento
Marc
Yes it was! 🙂