“in voller wildem Dschungel zu leben, ist oft weniger gefährlich als in einer menschlichen Siedlung lebt.” Daniel Desbiens

Nach der langen Busfahrt haben gestern entschieden wir eine weitere Nacht auf Pangkor zu bleiben, besonders heute Morgen aufwachen ist hart und spät. Wir haben vielleicht einen oder zwei Tage mit uns, um den Rhythmus der neuen Zeitzonen zu erhalten ! Wir schlucken unsere letzten beiden BN (brachte aus Frankreich) Joyce und fragen, von wo aus die Wanderung durch den Malaysian Dschungel auf einer Karte entdeckt. Sie erklärt, dass nur wenige Menschen es tun, und wir werden eine Machete brauchen, weil die Straße von Vegetation bedeckt werden müssen,. Es dauert drei Stunden und eine Hälfte nach seinen Worten der Westküste der Insel zu erreichen, weil der Weg nach oben und unten geht, aber auch andere Stechmücken der Ort ist sicher. Segen, ihr Mann, sagt uns, auf dem Weg zu seiner Fischfarm zu stoppen, wo er uns eine Machete verleihen.

26 novembre | 12h35

in Richtung der "Bauernhof Fisch"

26 novembre | 12h40

Holz Bootsbau

Als wir dort ist es bekommen in dem Prozess der Schärfung und vertrauen wir mit einem Lächeln bedeutete beruhigend zu sein : “Sie wird gut! Sie werden sicher!”. Wir redemandons es mit Einzelheiten der Art und Weise, aber trotz seines Lachens – est-ce si drôle deux touristes qui veulent aller dans la jungle plutôt que de se dorer la pilule ? 😀il nous assure de nouveau que c’est sans risque et nous précise où se trouve le départ : continuer vers le nord puis prendre le premier sentier en ciment qui part sur la gauche.

26 novembre | 12h49

Détroit de Malaka

26 novembre | 12h54

Tombes malaisiennes

Nous saurons plus tard que celui que nous décidons de prendre n’était pas le bon pourtant le départ est sympa, au milieu des tombes malaisiennes, avec vue sur le Détroit de Malaka et au loin le continent ; mais très vite le chemin disparait et le pourcentage de la pente ne cesse d’augmenter. Également armés d’une boussole, Wir überprüfen regelmäßig die in westlicher Richtung, während eine Passage in der Mitte von verschiedenen Bäumen Laichen, Pflanzen, die beißen, Spinnweben, rote Ameisen… Sehr bald wurden unsere Kleidung mit Schweiß getränkt – wörtlich – sondern indem er uns kleine regelmäßige Pausen Herz und Lunge zur Ruhe, wir halten eine angemessene Tempo. Dies muss etwas weniger als eine Stunde gehen wir – entlang der West weil noch keine Möglichkeit, ! – wenn wir das Geräusch des fließenden Wassers und Erinnerungen Joyce sprach von einem Wasserfall hören folgen wir uns einen Index. Zum Glück erkennen wir sehr schnell, dass der Anschein Spur kehrt nach Osten und wir drehen um und fahren den Hügel hinauf klettern immer mehr beeindruckend zu kippen. Wir erreichen eine Lichtung, wo ein Pfad geht nach unten, aber der Rest nur gelebt wird kurz wie wir wieder versuchen, zu klettern, fast auf allen Vieren in bestimmten Passagen, deren Toxinen Spieß !

Die zweite Lichtung treffen wir uns endlich scheint der Höhepunkt unserer Straße zu sein, wir sitzen auf dem Boden zu holen, wenn ein dritte Dieb die Partei beitritt : ein wildes Schwein grunzt ein paar Meter, Monsieur grogne plus fort et l’animal file sans demander son reste. Wie bereite ich gerade absteigen, Monsieur – oder Krokodil Dundee Kern, siehe Video unten ! – schlägt vor, dass wir wieder auf einen wenig weiter nach Westen, auch wenn die Art und Weise scheint Geh. Sehr gute Entscheidung, da wir auf einem Weg zurückgreifen – die Art und Weise ? – sogar mit dem Luxus einer Anzeige von einem der Bäume ! Von Zeit Bäume sind mit einem roten Stirnband markiert und der Weg ist klar,. Auch hier ist die Ruhe kurzlebig, Der Abstieg ist extrem steil und wir müssen Bäume klammern (nicht gut Palmen voller Spitzen oder kleine Nadeln) zu vermeiden Surfen Blätter – quoi que nous arriverions peut-être plus vite en bas !

Plusieurs fois nous perdons trace des arbres marqués mais heureusement Monsieur nous redirige sur la bonne piste à deux reprisessans lui, je serai sûrement sortie de la jungle aussi, ça m’aurait juste pris quelques heures de plus 😕 ! La fatigue est à son comble, l’envie de s’allonger pour ne plus rien faire n’est pas loin lorsque nous parvenons enfin sur du plat, nous ne sommes pas pour autant sortis de cette forêt tropicale et le soleil commence à sérieusement décliner. Sur notre chemin nous croisons quelques détritus humains, la civilisation se rapproche mais toutes les ouvertures sont des culs de sacPataugeant un instant dans un ruisseau boueux, nous retrouvons l’un des arbres marqués et arrivons en vue d’habitationssûrement l’une des premières fois où nous serons ravis d’apercevoir du béton. 😮 Et voilà la fameuse cascadetoute petiteoù nous retenant de boire nous nous rinçons quand même. Quelques pas nous manquaient pour voir le panneau conseillant de ne pas se tremper dans l’eauça va nous sommes toujours vivants 😉 , quelques autres pour arriver dans un camp de vacances où trône une fontaine… !

26 novembre | 15h18

Premier signe... après plus de deux heures

26 novembre | 17h36

Premiers signes de civilisation

Les quelques personnes présentes s’excusent de ne pas avoir d’eau potableaprès nous avoir demandé si nous cherchions lacascade”, non merci mais effectivement par ce côté c’est plus facile, cinq minutes de marche plutôt que quatre heures et demi ! Ils nous indiquent que le village de Teluk Nipah est à quelques mètres et que nous trouverons de l’eau. Nous nous arrêtons à la première habitation où un homme nous donne une petite bouteille d’eau presque chaude, puis un peu plus loin nous achetons une grande bouteille fraîche dans une guesthouse que nous vidons doucementla bouteille d’eau pas la maison d’hôte 😛 .

26 novembre | 17h54

Sangsue malaisienne

26 novembre | 18h11

Salive de sangsue = anticoagulant

Schließlich kam direkt am Meer, wir kaufen zwei Äpfel in erster Linie zu befriedigen unsere Mägen gekreuzt. Am Strand sitzen, Monsieur prend le temps de regarder ses chaussettes sur lesquelles est apparu du sang presque dès le début de la marche. Nichts auf den ersten Blick, bis ein Blutegel schließlich entlarvt, dann wird ein zweiter ! Es entfernt sofort Socken und Schuhe zu überprüfen, dass es keine andere sind, Ich laufe mich auch und macht mir klar, dass ich nicht verschont ; wenn ich es nicht erkennen, früher, es ist nur, weil meine Socken schwarz ! Der Gerinnungshemmer im Speichel von Blutegeln enthalten, die unsere etwa einem halben Dutzend kleine Wunden nicht stoppen Blutungen, es ist voller Schlamm, Schweiß und Blut, wie wir in der Nähe des Taxistandes in der Stadt eine Rückkehr zu SPK beantragen, ohne einen Augenblick zu zögern zwanzig Ringgit zu zahlen !

26 novembre | 18h05

Ein wenig Salzwasser auf Wunden

26 novembre | 20h44

Malaysian Essen

Nach einer heißen Dusche, Wir sagen unseren Tag und Joyce Boon, die Diskussion geht weiter in Lachen, bis wir essen wollten. Es gießt und wenige Plätze sind offen, So folgen wir unseren Gästen in einer lokalen Taverne. Joyce prend le temps de nous expliquer le principe et tous les différents ingrédientsbase de soupe simple ou au curry, rajout de tofu, poissons, viande, nouilles. Je me régale d’un bouillon avec des nouilles, du tofu et du poissonaprès tout nous sommes dans un village de pêcheurs ! – tandis que Monsieur ne peut manger le poulet au curry un peu trop épicé (encore une fois promis comme très peu épicé 😛 ), heureusement il y a le bon plat de boulettes de porc accompagnées de nouilles arrosées de sauce soja ! Joyce nous recommande aussi une boisson locale fraîche et verte, très bon mais je ne sais pas de quel fruit il s’agit ! Un local en tout cas, dont le goût est adouci par l’ajout d’une noixlaquelle ? – directement dans le verre. De retour à la maison d’hôte nous discutons tardivement avec Joyce qui nous enjoint à passer une nuit de plus sur l’île. Nous nous couchons en y réfléchissant, très tentés car nous adorons l’endroit… ja, ja, même après avoir failli nous perdre dans la jungle ! 😎

15 Kommentare zu "“in voller wildem Dschungel zu leben, ist oft weniger gefährlich als in einer menschlichen Siedlung lebt.” Daniel Desbiens”

  1. Eh ben pinaise ! Was für ein Abenteuer !
    Je sais pas si j’aurai été assez courageuse pur tenter la junglela peur de tomber sur des monstres à huit pattes😕
  2. Meuh non ! “Sie werden sicher” haha, il y a des fourmis rouges grosses comme une phalange de doigt qui nous sont tombées dessus lorsque nous coupions certaines branches par contre😀
  3. Mais sympaaaaaaaaaa ! 😀
    Ce genre de destination tropicale m’a toujours fait rêver mais se dispute à mon non-amour des bestioles de type insectoides passablement trop grosses et trop agressives. Mmmh
  4. A part les sangsues et les fourmis ça allait😛 Ah si les moustiques aussi, les premiers croisés volaient par bande de trente mais ne se posaient pas sur nous, par contre plus loin des modèles géants n’ont pas hésité à nous prendre pour des buffets : la pause dans le coin a été de courte durée !
  5. Haha merci tonton ! Je voulais juste mettre bout à bout les quelques petits films pris avec le Compact puis finalement je me suis amusée toute seule. 😛
  6. Nous avons du regarder à deux fois pour comprendre que l’auteur de ce nouveau commentaire n’était autre que l’auteur de la citation que je me suis permise d’utiliser pour l’article ! C’est sûr que lorsque je cite Mahatma Gandhi, Alexandre Yersin ou encore Victor Hugo, nous ne risquons pas de les voir laisser un message sur notre site Internet ! 😀
    Merci pour votre passage ! Nous pouvons ajouter votre site dans notre page de Liens si vous le souhaitez ? 😉
  7. :-)) En effet je n’ai pas beaucoup de compétition présentement dans ma sphère d’écriture; la plupart des autres auteurs nous ayant laissé pour un voyage sans retour.

    Cela dit, j’ai été captivé par le récit de votre aventure et je vous en remercie encore.

    Cela m’a permis également de découvrir ce très beau site rempli de trésors à découvrir que j’inscris dans mes favoris internet pour consultations futures.

    Merci de m’avoir cité pour la phrase cela me touche 🙂
    Également j’accepte votre proposition du lien vers mon site c’est très gentil de votre part.:-)

    Bonne continuation et j’espère que vous continuerez de nous partager d’autres belles aventures.

  8. via Monette jai pu suivre vos péripéties. Les scorpions de Cipières vont nous sembler des animaux de compagnie. Pensez quand même a vous désinfecter et à vous frictionner de citronnelle contre les moustics. Samedi je me lance aussi dans l’aventure annuelle de Noël. Déco, Kurse, cuisine et rangement dans les frigos et congel (là tu vas me manquer)
    Nanou Küsse
  9. La crème solaire, l’anti-moustique et autres bêtes vont rejoindre notre petite trousse de pharmacie très bientôt. J’attends Noël avec impatience pour pouvoir tous vous voir en ligne ! Je t’envoie un mail pour le reste 😉

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