Nach einem Frühstück mit malaysischem Gebäck – die Neuheiten heute morgen sind ein Brot mit Reis und Rosinen sowie eine Brioche à la Kaya, Kokosmilchmarmelade oder Kokos-Ei-Marmelade wie Joyce uns erklärt – wir nehmen unseren Honda Roller ein letztes Mal, um etwas weiter nördlich zur Fischfarm zu fahren – Fischzucht – die Bohne.
In der Tat von Fischfarm, es sind nur Netze, die zwischen Holzstegen gespannt sind. Um uns seinen Fisch zu zeigen, Boon winkt ein paar kleine tote Fische (Sardinen, fliegender Fisch, usw.) auf der Wasseroberfläche, sehr schnell strömten etwas mehr als zehn große Fische in Scharen. Sie müssen innerhalb von vierzehn Zoll lang gut abschneiden, vielleicht mehr. Er fordert uns auf, sie selbst zu ernähren, was wir tun, aber ein bisschen weiter als er, sie sehen immer noch beeindruckend aus seine fische, Da will ich keinen Finger lassen !
Das ist alles für den letzten Sightseeing-Besuch, Wir gehen zurück, um die Klimaanlage im Zimmer noch ein paar Momente zu benutzen, weil der Tag sehr heiß ist. Nach dem großen Abschied von Joyce fahren wir um ein Uhr mit der kleinen Fähre zurück, die die Verbindung mit dem Kontinent herstellt.. Unser One-Way-Ticket gilt für die Hin- und Rückfahrt und etwa zwanzig Minuten später sind wir in Lumut. Wir gehen zum Schalter der Firma Arwana, um Bustickets zu buchen (56,20RM – 14€) dass wir denken, um zwei Uhr zu sein, es wird drei uhr… Umso besser haben wir Zeit zum Essen. Neben dem Busbahnhof reihen sich viele kleine Restaurants aneinander, die aber nur Gerichte anbieten, die scharf anmuten. Monsieur geht auf Erkundung und wir werden sehr europäisch essen, da er mit zwei Pizzen zurückkommt back.
Um drei Uhr, wir sehen die Verspätung des Busses, als uns eine Dame auf Englisch fragt, ob wir aus Frankreich kommen. Wenn wir positiv reagieren, elle enchaîne en demandant si nous n’avons pas oublié un passeport. Pensant qu’elle vient des comptoirs de bus nous répondons que non… Jusqu’à ce qu’elle m’appelle par mon prénom.
Et là j’ai la petite ampoule qui s’allume au fond de mon cerveau – qui devait donc être bien éteinte avant 😮 – j’ai oublié mon passeport sur l’île ! Ne voulant pas l’emmener en vadrouille dans la jungle et ailleurs, je l’ai enlevé de mon porte-feuille pour le glisser sous la couverture du lit supplémentaire qu’il y avait dans notre chambre. Il y est sagement resté jusqu’à ce qu’il soit découvert lors du ménage de la chambre – ce qui prouve qu’à Pangkor Guesthouse SPK on nettoie même les drap des lits non utilisés, bon point pour l’hygiène ! 😀
Obligés de changer les horaires du bus (14RM) pour celui de dix-huit heures, la dame qui m’a trouvée m’accompagne au comptoir et explique rapidement la situation puis elle rappelle l’île pour savoir si mon passeport peut être confié à quelqu’un prenant le bateau. Joyce n’osant pas donner mon passeport à n’importe qui, me voilà en train de courir vers l’embarcadère pour sauter sur la navette de 16h04 (10RM, ma bêtise ne m’aura coûté que six euros en tout), avec vingt minutes de traversée pour me morigéner intérieurement. A l’approche de SPK je saute sur le quai – “yes, yes, SPK village!” 🙂 – et vois le ferry retour accoster. Je m’approche d’un des marins pour lui expliquer en trois mots mon cas et lui demander s’ils peuvent m’attendre, il acquiesce et je file vers la maison d’hôte. Joyce est contente de me revoir et m’explique rapidement qu’elle a essayé de m’envoyer un courriel, puis n’ayant pas d’autre contact, a appelé tous les comptoirs de bus pour que quelqu’un nous cherche. Je la remercie mais ne peux rester, le bateau m’attend ! Il est 16h54 lorsque je remets le pied à Lumut, sûrement l’aller-retour le plus rapide de l’histoire de Pangkor. 😀
Le pauvre Monsieur m’attend patiemment dans la chaleur d’aujourd’hui – évidemment le bus en retard est arrivé lorsque je devais partir. Un bus arrive en avance sur l’horaire mais avec la bonne plaque d’immatriculation. Alors que nous nous apprêtons à monter les gens de la compagnie nous explique que ce n’est pas celui-ci et change nos numéros de plaque sur les billets.
Est-ce que nous nous sommes fait avoir comme des touristes ou est-ce que le bus en question n’était pas l’express pour KL – car cette fois-ci nous l’avons demandé – wir werden nie wissen, ! Le bus promis n’arrive finalement qu’à dix-neuf heures et il lui faudra plus de cinq heures pour rallier Kuala-Lumpur ! Si jamais nous devons retourner en Malaisie, nous faisons une croix sur la compagnie Arwana malgré le confort de leurs véhicules… Bien que si leur premier bus n’avait pas été en retard, récupérer mon passeport aurait été une toute autre histoire ! !
Il est près d’une heure du matin lorsque nous arrivons devant la porte de Matahari Lodge où nous entendons avec soulagement Ashley nous dire qu’il reste des chambres de libre… La même que nous avions il y a quatre jours. Contents d’être de retour à la case départ même si nous serions bien restés encore quelques jours sur Pangkor !
La journée fut longue – peut-être sa lecture aussi 😉 – mais nous avons pris chaque évènement de façon détendue et avec le sourire (bon peut-être un peu crispé des fois) ! 😀
5 Kommentare zu "“Erinnerung ist ein Rinnsal. Es ist voller Fische, wenn das Schicksal des Flusses, aber Zehn Litern Wasser durch, ohne dort zu bleiben floss.” Dean Koontz”