“Je mehr wir teilen, je mehr man hat. Das ist das Wunder.” Nimoy

Baie de Cooktown

Wenn wir hinter sich lassen uns Cairns, Rollen auf dem Captain Cook Highway, die Küste nimmt einen wilderen Look für die Freude unserer Augen ; mit Ausnahme der Stadt Port Douglas welche verbreitet seinen Luxus in einer tropischen Umgebung stark fliehen wir.

Es gibt zwei Routen Nord-Queensland weiter : Binnenschiffsgüter- auf der asphaltierten Straße oder Kreuzung den Daintree auf einer Fähre - 13,5$ die unterwegs (~ 9,5 €) - zum Durchsuchen dreißig Kilometer spur regelmäßig unterbrochen von Flüssen nach dem Dorf Cape Tribulation - Top 4×4 obligatorisch. Wir haben nur zwei zu überqueren, die Trockenzeit ist bereits im Gange, les autres ne sont plus que des lits de pierres. Avant d’arriver à Bloomfield, nous croisons de nouveau la route d’un casoar, toujours trop rapide pour que nous puissions le capturer en photo !

29 mai | 11h14

Plage après Cairns

29 mai | 16h01

Premier franchissement !

Une heure sur la piste et nous voilà sur les terres des Kuku Yalanji, aux abords de la communauté aborigène de Wujal Wujal, “So nice, you say it twice– Tellement sympathique que vous le dites deux fois – indique le panneau 😀 et nous traversons le Bloomfield River – sur un pont cette fois-ci – nous enfonçant jusqu’au bout de la piste puis en haut d’une colline pour parvenir à un petit morceau de paradis.

30 mai | 7h48

Matin chez nos hôtes HelpX

3 juin | 16h51

La vue... depuis la douche !

Nos hôtes nous font aussitôt visiter leur superbe maison ouverte – comme le sont la plupart dans la région pour permettre à l’air de circuler pendant la saison humide, c’est plus naturel que la climatisation ! – qu’il construit et améliore depuis trente ans avec l’aide de sa femme depuis douze – d’origine allemande, elle est venue dans le cadre du WWOOF et n’est jamais repartie 🙄 . Nous aurons la chambre à côté de la grande pièce principale – cuisine, salon, salle à manger intérieure, bibliothèque – et un lit aux allures de baldaquin avec sa moustiquaire.

13 juin | 12h41

Bloomfield's paradise

9 juin | 14h25

Papa Souimanga et son petit

Installés sur la terrasse nous faisons connaissance en dégustant le dîner préparé par notre hôtesse – miam, ils seront tous plus délicieux les uns que les autres, avec toujours un arrangement végétarien pour moi 😎 . Nous avons également la chance d’avoir des bananes locales – le bananier est à quelques mètres ! – et goûtons les délicieusement sucrés mangoustans. Notre hôte nous informe sur les autres habitants des lieux : trois goannas qui viennent de temps à autre se servir dans le compost – il en existe vingt-quatre espèces connues en Australie, je pense pouvoir affirmer que ceux que nous avons rencontrés sont les Varanus varius ou varan bigarré, un bandicoot qui passe parfois, les classiques geckos, araignées, moustiques ou autres insectes volants, die souimanga à dos-vert – plus joliment nommé sunbird en anglais ou oiseau du soleilqui a confectionné son nid juste devant la porte de notre chambre et lorsqu’il en arrive aux serpents venant parfois s’abreuver la nuit dans la salle de bain, l’un d’eux entame justement sa lente ondulation sur la terrasse : un petit sombre qui sera gentiment mais fermement raccompagné à l’extérieur. Je ne saurai l’identifier mais il ne semblait pas dangereux, tout comme le dendrelaphis punctulatus – c’est la seule traduction française, du moins latine, que j’ai trouvé 😮 , en anglais il s’appelle simplement : grüne Baumschlange - die später Ronald, harmlos trotz der beeindruckenden Größe von zwei Metern sie das Erwachsenenalter erreichen kann - ja, ich weiß, dass es viel länger, aber wir nicht schon stolz auf kleine vierzig Zentimeter, Größe des gemeinsamen Death Adder, die hier zu finden ist und ein Teil der meisten giftigen Reptilien der Welt.

13 juin | 12h47

Vanilleschoten

13 juin | 12h54

getrocknete Schoten

Unsere Gäste arbeiten nicht am Wochenende und Samstag 30 im Juni nehmen sie die Zeit, um ihre Arbeit mit Vanille zu erklären - das wird mich für zwei Wochen, zusätzlich zu einer Hausarbeit, Herr Umgang mit dem mehr technischen DIY.
Die Pflanzen jeden Tag zu gehen, um die Schoten kontrollieren zu denen reifen zu pflücken sind, verteilt über zwei Terrassen und es dauert. Wie bei den bereits gesammelt und bereits verbrüht dann gedünstet, sie müssen jeden Tag ein Sonnenbad nehmen, aber bei Anzeichen von regen zurückgegeben werden. Auch hier wird jeder pod geprüft diejenigen regelmäßig zu entfernen Innen-Trocknung zu verfolgen.

31 mai | 14h22

Erst das Boot zu Wasser

31 mai | 14h47

Unser erstes Krokodil

Sonntag, unser Gastgeber hat uns in seinem Boot auf dem Fluss Bloomfield, wo wir zwei große Krokodil entfernt und ein wenig amorph sehen - sie sind Kaltblüter und dies ist ein Tag ohne Sonnenschein, autrement dit leurs batteries sont à plat 😛 – que nous pouvons approcher. Les crocodiles marins – salty pour les intimes, diminutif de saltwater : eau salée – dont les ancêtres étaient présents au temps des dinosaures, sont une espèce protégée depuis 1974. Vous pouvez les rencontrer du nord de l’Australie jusqu’en Inde en passant par les pays de l’Asie du sud-est.

La ballade se poursuit en mer où notre hôte surveille ses lignes de pêche pendant que Monsieur dirige le bateau autour d’un petit récif de la Grande Barrière de Corail. Les maquereaux ne se montrant pas, il nous apprend à pêcher sans canne avec juste un fil, un plomb et un hameçon avec appât. C’est finalement Ronald qui ramènera un empereur gueule longue.

29 mai | 17h

Wujal Wujal

7 juin | 15h05

Jam au Blooms Cafe

Nous faisons connaissance avec les gens du coin, le dimanche de l’autre côté du fleuve dans la petite ville d’Ayton – nommée d’après le nom d’une ville côtière anglaise à côté de laquelle James Cook a grandi – c’est jam toute l’après-midi au Blooms Cafe avec d’autres gars du lieu, répétition pour Monsieur le mercredi soir, les mardi et jeudi je découvre le yoga avec notre hôtesse et d’autres personnes du coin. En un rien de temps nous nous intégrons à la petite vie locale où tout le monde se connaît plus ou moins. Le temps s’écoule d’une étrange façon, nous avons l’impression de vivre ici depuis toujours et en même temps de n’être arrivé qu’hier.

4 juin | 15h04

Black Mountain - Kalkajaka

4 juin | 16h36

Cooktown et Endeavour River

Nous nous octroyons une après-midi touristique pour rouler jusqu’où la route goudronnée s’arrête sur les terres du peuple des Guuju Yimidhirr, à la dernière ville avant le Cape York et ses pistes : Cooktown, où en 1770 le Capitaine James Cook est contraint de faire une escale de quarante-huit jours – la plus longue pendant ses trois ans de voyage – après avoir endommagé la coque de son navire le HMB Endeavour – Her Majesty Bark – sur un banc de la Grande Barrière de Corail. Petite ville du littoral dont le point de vue sur Grassy Hill offre un superbe panorama sur la baie, colline sur laquelle James Cook est monté à plusieurs reprises il y a deux cent quarante-cinq ans – à la même période de l’année que nous 🙂 – pour repérer les bancs de sable afin de décider d’une route lorsqu’il appareillera de nouveau fin juillet 1770.

Sur la route se trouve le parc national de Black Mountain dont ma photographie ne reflète que médiocrement la réalité : des mètres carrés de rochers noirs empilés les uns sur les autres comme une montagne de graviers gigantesques. Les Kuku Yalanji nomme la montagne Kalkajaka – lieu de la lance – c’est un site sacré qui fut le témoin d’un combat de deux frères dans la mythologie aborigène : désirant la même femme, ils décident qu’elle reviendra à celui qui construira la plus grande montagne en utilisant les rochers noirs alentours ; concentrés sur leur tâche les trois protagonistes ne voient pas un cyclone arriver, ce dernier noie la fille et souffle les deux frères dans les crevasses de leurs montagnes. L’explication scientifique est moins romantique : vor 260 millions d’années une masse de magma s’est solidifiée sous la terre, l’érosion des sols la mise à jour et le granit s’est lentement fracturé, dann fällt auf den Seiten des Hauptkörpers.

Am Samstag 13 Juni sagen, dass wir unsere Gastgeber zum Abschied, aber nicht verabschieden, weil wir nur die Bank settle in einem neuen Host für zwei neue HelpX Wochen im tropischen Paradies ändern !

Aaaah, Ich habe endlich das Recht auf unserem Blog zu sprechen ! das sagte, Jetzt habe ich den Redakteur wird mein Redaktionsleiter bleiben, und alles, was zu sagen, alles haha.

ernst, Ich bin sehr traurig… Der Autor des Sprichwort gemäß Artikel, welches ist nichts anderes als die ausgezeichnete und urkomisch Logik von Mr. Spock (cf Star Trek), vor kurzem gestorben ; Traurig, weil wir verloren zwei große Männer der Musik, je nomme B.B.King et monsieur Joe Cocker, triste car… Unterlassen Sie, c’est bon je ne suis plus triste. 🙂 Reposez en paix amis et bienfaiteurs de mon âme.

A bientôt pour un mot plus gay.

18 Kommentare zu "“Je mehr wir teilen, je mehr man hat. Das ist das Wunder.” Nimoy”

  1. Nous continuons de voyager avec vous mais je vous laisse volontiers les crocodiles et les serpents contre une bonne poignée de vanille que nous apprécions sans risque. Bons baisers R.A. Je comprend parfaitement le mot, moi qui ai assisté, du temps de ma jeunesse au Maroc, à de nombreuses jam session du Hot Club de France de Meknès.
  2. Et pourtant les serpents et les crocodiles devaient se croiser au Maroc ? ! 😀
  3. Tout à fait MickeyL’homme au pistolet dort pour une éternité mais tel un vam, ou pire, il se levera encore sur tel ou tel écran à jouer aux apprentis sorciers, rideau 🙂
    Bises à vous !
  4. salut, je vois (lis) que tout va bien !!! top bises à vous deux .
    PS si tu pouvais nous mettre une p’tite carte pour situer les endroits ce serait super !! 🙂
  5. Mais non, mais non, il te faut juste le temps de trouver le bon chemin ! 😛 De retour en Thaïlande ?
  6. c’est bon de vivre vos aventures meme si les conditions d’hebergement sont parfois rudimentaires.bonne route biz claude&domi
  7. Et c’est tout aussi bon de savoir que nous avons des lecteurs à qui nous faisons plaisir en nous faisant plaisir ! 😀 Pas de souci pour nous concernant l’hébergementrudimentaire”, nous étions tout à fait dans notre élément, ça donne même des idées pour une éventuelle future habitation fixe ! 😉
  8. DE RETOUR DE MON PÉRIPLE PLUS URBAIN QUE LE VOTRE…PARIS…BAYONNEET TOULOUSE….ET MAINTENANT LES VACANCES SUR LA COTE D AZURDUR.EDURED ETRE EN RETRAITE!!!BISES VON PAPY.
  9. Super cette suite .. Vous donnez envie de se télétransporter tel Mr Spock dans ces endroits de rêve. Même si Brigitte aurait du mal à suivre à cause des serpents. Content de lire Ronald et de savoir qu’il sera bientôt Gay 😉 . C’est sûr l’Australie pays de bagnards, ça vous change un homme 🙂
    Ps: j’ai changé mon titre pour éviter les confusions. Même moi je me suis laissé prendre
  10. Après bientôt deux mois dans les tropiques ou le centre de l’Australie, nous n’avons pas vu tant de serpents que ça et toujours des inoffensifs ! 😉
    Attention, il paraît que les Australiens sont susceptibles quant à leur passé. 😛
    Je crois que le nouveau rédacteur a voulu faire un jeu de mot pour son prochain commentaire mais l’a peut-être oublié entre temps !
    Bises Uncle Marc !

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