Sieben Uhr morgens, erster Tag des Monats Februar, wir sind auf der Terrasse der DJ Pension und warten auf unser Pick-up. Der Shuttle dauert nicht lange, und führt uns zum Busbahnhof Sorya wir gestern gebucht im Norden von Kambodscha zu erhalten, in der Stadt Battambang – $9 pro Kopf.
Eingebaut in dem Bus - man denke über die Pullover, die starke und kalter Wind Lüftung - müssen eine Stunde, um den Fahrer schließen uns der Verkehr in Phnom Penh aussteigen. allmählich, ändert sich die Landschaft, im Gebäude, mehr Grün, die Landschaft Kambodschas, alles noch gut bevölkert, erschienen. Nous ferons deux pauses pendant les sept heures de trajet – contre cinq annoncées. Pourtant le chauffeur roule sans presque ralentir, klaxonnant son arrivée pour que les scooters, motos, tractant ou non une remorque, se poussent de son chemin.
Un chauffeur de remorque – que tout le monde appelle tuk-tuk, les chauffeurs et nous-même compris mais qui sont en fait des scooters traquant des remorques aménagées, contrairement au tuk-tuk thaïlandais qui sont des sortes de petites camionnettes – bref, un chauffeur de tuk-tuk 😉 nous attend à l’arrivée – il suffit de demander à l’hôtel où vous allez s’ils peuvent arranger un pick-up, Dies ist in der Regel kostenlos, während Sie fördern die Dienste dieses Treibers zu suchen, wenn Sie einmal dort müssen - uns in unser neues Heim bringen : le Lucky Hostel – $16 für zwei Nächte.
müde, ja wieder, Reisen und früh aufstehen, wir ruhen, während Sie den ersten Artikel dieser neuen Expedition concocting. Um 17 Stunden, wir gehen wir in Battambang gehen - ausgesprochen Bate / Lady / Bong. Doch die zweitgrößte Stadt von Kambodscha, es ist viel ruhiger als Phnom Penh und wir einen Moment Sangker Fluss passieren in einem Restaurant schließlich Anschlagkante am Wasser ansprechend gestaltet ist. Nach Kambodscha Bierterrasse geschmeckt haben wir beschlossen, vor Ort zu essen, zumal wir gerade gesehen haben, dass sie eine Verlängerung des Restaurants im gleichen Fluss, wo wir auf niedrigen Tische essen, sitzt auf dem Boden : Nudeln und Gemüse für eine, Huhn gebratenem Knoblauch auf der anderen Seite - $6,5 alle. Auf dem Weg zurück, wir stoppen für einen Anschein von geröstete Schokolade - am besten in Thailand ! – und über den kleinen Nachtmarkt.
am nächsten Tag, nach einem neuen Morgen Fett, wir einen Motorroller mieten direkt am Hotel – $7 - und wir sind auf dem Weg zum Wat Ek Phnom, etwa sieben Kilometer nördlich der Stadt. Baujahr 1027 unter der Herrschaft von König Sorayak Varman I, der Ek Phnom Tempel wurde unter dem Pol-Pot-Regime und den Krieg beschädigt, die folgten, aber wir geben immer noch einen Geschmack der Khmer-Architektur, ein Dollar am Eingang angefordert. Auf der Straße, wir dieses Mal finden die reale Landschaft Kambodschas, Heuhaufen in der Sonne getrocknet werden, aber auch Paprika, unbekannt Samen, Reiskuchen ; wir verbringen fast eine kambodschanische Hochzeit in vollem Gang in Farbe ; à presque chaque enfant croisé nous avons le droit à de grands sourires et des coucous de la main ponctués de « hello » retentissants, Comme en Malaisie et en Thaïlande, nous apprécions énormément les balades en scooter dans le pays !
Retour vers le sud avec un arrêt à une des terrasses en enfilade où nous mangeons pour cinq dollars un plat de nouilles et légumes chacun – oui ça a l’air répétitif comme ça mais les nouilles ne sont pas toujours les mêmes : fines, épaisses, blanches, Gelb, plates ; ni les légumes 😛 , avant de repartir cette fois-ci vers le sud de la ville, à une vingtaine de kilomètres, pour aller escalader les trois cent cinquante-huit marches de pierre menant à Phnom Banan – $2 à l’entrée cette fois-ci. Légèrement essoufflés au sommet, l’effort vaut la vue sur le paysage alentour et la petite balade au milieu des ruines de 1057 dont les grises pierres semblent s’illuminer sous le soleil couchant. Le temple daterait du règne de Udayadithyavarman, prédécesseur de Suryavarman II, bâtisseur d’Angkor Wat.
Direction le sud-ouest sur une route de terre au milieu des rizières qui débouche non loin d’un temple plus récent : Phnom Sampov. Nous n’irons pas le visiter, ni les Killing Caves qui s’y trouvent – œuvre du même dictateur – mais nous installons en bas de la colline comme beaucoup d’autres touristes. Ici, tous les soirs entre dix-sept heures trente et dix-huit heures, plus d’un million de chauves-souris à lèvres plissées – Chaerephon plicatus – quittent leur grotte et s’envolent pour chasser leur repas. Nous attendons patiemment jusqu’à en voir quelques unes faire leur apparition, très rapidement suivi d’un flot impressionnant de petites chauves-souris créant un bandeau noir dans le ciel s’assombrissant. Elles vont parcourir plus de cinquante kilomètres pour trouver des insectes. Et pas n’importe quels insectes, ceux qui détruisent les récoltes de riz, en mangeant de cinquante à cent fois son poids, dreizehn bekannte Fledermaus-Kolonie in Kambodscha muß den Verlust von zweitausend Tonnen Reis pro Jahr verhindern.
Zurück in der Stadt für unser Essen ohne Insekt auf einer Terrasse : ein Weg Siv Iv fleischlos für ein, ein Rindfleisch Lok Lak andere, Cambodian Gerichte und Avocado Saft alles nieder zu waschen !
Miniserie – “Auf dem Bus” :
Reisen mit nur zwei anderen westlichen, wir wurden mit endlos Clips in eau de rose Cambodian Melodien behandelt, schließlich genauer ansehen, es gab Ablehnung, Erpressung, Strangulation Mord, nicht so rosig, wie es.
Gefolgt von einer Comedy-Truppe macht urkomische indigenen, wir nicht verstanden ; plus le type au micro pleurait, plus l’assistance riait ?!
Quand l’un d’eux fit un salut asiatique et s’est cogné la tête contre le micro, on a compris, mais là c’était un de ces imprévus qui font même rire les autres comédiens.
Programme suivi d’une petite série produite par Jackie Chan – c’était du chinois pour nous 😉Arrivée à la gare routière de Battambang, une large carrière à l’abandon un peu en dehors de la ville et un tuk-tuk nous attendant avec le prénom Claire sur une feuille. La classe.
Petite note sur l’hostel : il n’y a pas de fenêtre, et surtout, il n’y a pas d’issue de secours ni aucune issue après la fermeture des grilles !!!
Schwer, dur la vidéo, je n’ai plus mon ancien logiciel mais je tenais à vous faire partager notre balade ! 😉
Vos écrits, photos et de plus, la vidéo m’ont permis de passer un bon moment en cette fin de journée. Les tuk tuk, nous les avions utilisé au Rajhastan.. Sensations garanties !!
Profitez bien, et à bientôt..
kisses
Nous n’avons pas vraiment la même météo dans le sud de la France. 😉 Quoi qu’il faisait fort bon au Cambodge à cette période de l’année, le soleil tape bien. D’autres balades à venir bientôt… !
Oui géographiquement les pays sont quelque peu semblables. Après la Malaisie, la Thaïlande et le Cambodge, je pense que le prochain sur la liste sera aussi le Vietnam. 😉
Pour l’hotel le Lucky c’est toujours mieux que le restaurant Alien 😉
Sinon j’ai eu la même chose que Sonny avec les photos pas bien alignées. Il semblerait qu’en jouant avec le zoom du “browser” cela règle le problème.
En te lisant, j’ai pensé à ta grand mère Mimi qui aurait particulièrement apprécié votre voyage au Cambodge. D’ailleurs sais tu que ta grande tante Marie était au lycée avec Norodom Sihanouk?
https://fr.wikipedia.org/wiki/Norodom_Sihanouk
Votre Mimi racontait que Norodom n’était pas toujours content, car Marie lui “volait” la première place coté résultats dans les études. Ce qui ne m’étonne pas, connaissant ma tante.
Pour finir, j’ai noté que Ronnie a dégoté un casque orange, ils sont partout les “Oranje” 🙂
Pass auf
Küsse
PS : et Batman vous l’avez vu ??!!
Je pense à Mimi souvent quand j’écris sur le site, papa lui imprimait les articles et elle aimait beaucoup qu’on lui parle de nos voyages ! Ton fait historique est juste excellent ! ! Dans le prochain article j’ai prévu de donner l’ancien nom de Sihanoukville et d’expliquer que la ville a été nommé en l’honneur de… Norodom Sihanouk, ancien roi du Cambodge, s’il vous plait !
Wiki nous dit : “[…] il effectua sa sixième au lycée Sisowath, toujours dans la capitale cambodgienne, puis intégra le prestigieux lycée Chasseloup-Laubat de Saigon afin d’y préparer un baccalauréat de philosophie. Une partie importante du programme était consacrée à l’histoire et à la culture française. Élève d’un bon niveau mais peu studieux, il excellait dans les matières artistiques, goût qu’il conservera toute sa vie. Son statut royal empêchant les autres Cambodgiens d’avoir trop de contact avec lui, il se lia d’amitié avec plusieurs étudiants français.”
Je suppose donc que Marie a été au lycée Chasseloup-Laubat ?
Je regrette de ne pas avoir plus parlé de son enfance avec Mimi, car le Vietnam sera probablement le prochain pays d’Asie que nous visiterons et je marcherais sur ses pas avec plaisir.
J’aurai bien porté un casque orange moi aussi, si mes souvenirs sont bons il était rose à Battambang ! Où nous n’avons vu que des bébés Batman ! 😛