“Chaque vie se fait son destin.” Henri-Frédéric Amiel

Sept mois tout pile depuis le dernier article où nous vous avons laissé avec la promesse d’un petit retour sur notre vie sédentaire australienne dans la région de Byron, au nord de l’état de la Nouvelle-Galles du Sud. Bon dernier article posté en fait fin septembre ! 😉

Avec le mois de juin arrive l’hiver subtropical, autant dire que si les soirées peuvent être fraîches, les journées restent ensoleillées sous d’agréables températures. Nous continuons de profiter de marches sur les longues plages, de visites aux différents marchés du coin, nuoto in piscina dei nostri ospiti abbiamo a volte a mantenere la casa ei cani durante le loro assenze. Ci invitano a cena quasi una volta a settimana, quando non è un barbecue ai vicini di casa, a volte ci jardinons insieme e regolarmente ad effettuare lavori occasionali per loro.
con noi, Mr chitarra pratica, registra nuove composizioni e giocare per le strade, con o senza il suo figlio che visita noi regolarmente ; dopo aver completato il mio contratto Francese, Continuo ad allenarsi in nuove tecnologie ; si discute il sequel imminente…

Fine giugno, Ho deciso di avviare le procedure per la licenza che non ho finito la scorsa. In più di un paio di lezioni con un istruttore professionista, è il nostro proprietario che richiede tempo per perfezionare il mio apprendimento sulla loro utilità. Nonostante i ritardi amministrativi, il caso è conclusa con successo in meno di tre mesi.

nel mese di luglio, abbiamo la visita di un pitone che prende la residenza sotto la nostra finestra della cucina. Qualunque cosa iberna e quasi non si muove, i nostri proprietari decidono per il trasferimento della bestia per aggirare la più tranquilla spirito nel giardino e di evitare che una delle galline finiscono in spuntino.

Alla fine del mese, Monsieur décroche un boulot au Country Club du coin en tant que cuisinier, où il me fera entrer pour faire la plonge à la fin du mois d’octobre, la région n’offrant aucune opportunité dans ma branche et guère plus de possibilités que travailler dans le milieu de la restauration.

Avec le mois de septembre arrive le printemps, des oisillons piaillent sous nos fenêtres et nous avons la surprise de revoir Percy – ah oui pardon nous avions baptisé le python ! – ou en tout cas un serpent possédant les mêmes motifs sur sa peau quoi que semblant bien plus grand. Il disparaîtra sans laisser d’adresse ! 😮

Quelques semaines avant que je ne commence à travailler en octobre, nous avons acheté de nouveaux billets d’avion. Pour ceux qui ont reçus la dernière lettre d’information, vous savez que nous avons prévu de nouvelles aventures pour le début d’année. Nous quitterons donc l’Australie le 15 Gennaio 2019. 😎

La fin d’année se déroule tranquillement, avec entre autres un concert de l’artiste français Naâman à Byron Bay. Ce sera notre troisième Noël et jour de l’an en Australie, depuis le mois de novembre les décorations ornent différents magasins et maisons, malgré les températures qui montent parfois jusqu’à 40° en ce mois de décembre, début d’été ! Nous avons le droit a une ou deux tempêtes quasi sèches, avec l’électricité coupée, rien d’autre à faire que d’admirer les lourds nuages qui se zèbrent d’éclairs.

Nous avons vendu notre voiture au début du mois, l’entreprise pour qui nous travaillons ayant fermée, Monsieur est redevenu électricien, moi j’étais déjà passée de plongeuse à baby-sitter, m’occupant du fils du chef cuisinier.

Nous serons cette fois-ci restés onze mois en Australie, de mon côté je n’ai pas vraiment fait ce que j’avais prévu : travailler en informatique dans une grande ville, visiter les Kimberleys, se rendre en terre d’Arnhem – oh bah mince, je vais être obligée de revenir 😀 – mais je pense qu’il faut parfois savoir suivre le cours des évènements !
J’ai retrouvé la simplicité et l’ouverture des australiens, les beaux et grands paysages, la sensation d’été continuel. Je crois que je ne regrette rien, plusieurs choses vont me manquer : les multiples oiseaux croisés dans le jardin – ibis, kookaburra, loriquets, aras et autres – marcher pieds nus presque partout, les options végétaliennes à profusion, les légumes et fruits du potager, le petit couinement des geckos asiatiques…

Dernièrement, je dirais même plus, la semaine dernière, sur mon lieu de travail, sans grand étonnement (sì, on s’habitue vite), en tirant des fils électriques, Ho trovato un serpente attorcigliato, napping tra i pannelli del soffitto. il mio collega, giovane e senza paura, prende con le mani, mentre io mi sono armato di una scopa. Dopo aver ben irrigata (abbiamo pisciato), il serpente è stato ucciso senza alcun processo, assolutamente illegale in questo paese, per la pelle recupera giovanili. Gli ho detto, che da quando era morto, Mangiare tanto così sono tornato a cucinare me (supporto marinata) il mio primo serpente.

 

Era così forte che ho rinunciato anche che il taglio del pezzo ! Ecco, questo è il pitone finalmente per alimentare i polli al cambiamento. Essi hanno banchettato.

 

Pieno di momenti passati qui, notamment avec mon fils, étaient absolument fantastiques mais nous nous sommes aussi aperçu que le sédentarisme n’est vraiment pas notre crédo.

 

J’ai hâte de reprendre la route, de voir des images qui bougent en cinq ou six dimensions défiler, partager des couchers et des levers de soleil et jouer de mon instrument favori 😉

 

Merci de nous avoir suivi en terres australes. Joyeux Noël à tous et à toutes !