“Todos los que vagan no están perdidos.” J.R.R. Tolkien

El último día de enero atacamos la Bahía de Plenty, así llamado por James Cook debido a su abundancia de recursos naturales. Si el comienzo del camino ya es lindo, se vuelve aún más bonito después de la ciudad de Opotiki, la costa está cada vez menos urbanizada, solo cruzamos pequeños pueblos y las bahías que se suceden aparecen cada vez más salvajes. A nuestra derecha montañas de verdor, a nuestra izquierda el azul cambiante del océano.

El pueblo de Te Araroa, tenemos pensado ir al faro más al este de Nueva Zelanda pero los veinte kilómetros de pista anunciados nos hacen cambiar de idea y seguimos nuestra ruta por la nacional 35, hundiendo al sur. La costa este solo se nos aparece de vez en cuando, la tira de alquitrán que se hundió en las colinas a lo largo del río Waiapu al pie de la cordillera de Raukumara.

En el corazón de la Bahía de Tolaga, caminamos por el muelle histórico que sobresale seiscientos metros sobre el agua, fue construido en los años 1920 para dar cabida a los barcos, el nivel del agua en la bahía no es muy profundo. Aunque renovado y reabierto a los peatones en 2013, el último carguero que quedó en 1967.
en su partida, se encuentra una escultura de Jack Brooking, donde se representan dos maoríes con el rostro cubierto de Tā Moko, Tatuaje tradicional maorí. En haut se trouve Hinematioro, una mujer de alto estatus entre los pueblos de la costa este que vivió en el momento en que el capitán James Cook visitó por primera vez Nueva Zelanda en 1769. Abajo, c'est El análisis del cielo, uno de los chefs de más alto rango en la costa este.

Conducimos unas cuantas millas más antes de acomodarnos para pasar la noche con otros vehículos autónomos., sobre una zona de la ciudad de Gisborne, abriéndose a Poverty Bay – l’inverse de Bay of Plenty aux yeux de James Cook 😉 – qui nous offre un sublime coucher de soleil.

Le premier jour de février, après un tour dans la charmante quoi que large ville de Gisborne, nous continuons toujours plus au sud en direction de Napier. Si sur une carte vous pouvez voir que nous longeons la baie de Hawke, nous n’en verrons rien car la route serpente toujours dans les hauteurs.

Après un moment d’hésitation, nous faisons un détour pour traverser Napier, connue pour son architecture. Si le centre-ville est mignon, nous ne nous attardons pas, car comme souvent les villes ne nous attirent guère… Quittant la côte, nous nous attaquons à la nationale 5 que regresa al corazón de la Isla Norte y al gran lago Taupo. Esta vez pasaremos la noche en las montañas., junto al encantador río Mohaka, en el área de Glenfalls.

Nos despertamos con nuestra primera lluvia en las carreteras de Nueva Zelanda. Solo unas gotas que desaparecerán muy rápido, lo que sea dejando un rastro de nubes grises que nos acompañarán todo el día, nada de que quejarse ! Como cada vez que pasas por las grandes ciudades, en Taupo, realizamos nuestro pequeño ritual : biblioteca para cargar y navegar por internet, Compras y repostaje: agua potable para nosotros, gasolina para el coche. 😀 Une des attractions naturelles du coin sont les impressionnantes Huka Falls – en Māori huka signifie écume, environ deux cent mille litres plongent sur neuf mètres toutes les secondes, pour donner une idée un panneau annonce que ce débit serait suffisant pour remplir cinq piscines olympiques… toutes les minutes !

Le lac Taupo est le plus grand de Nouvelle-Zélande et il nous est aisé de trouver un coin tranquille juste sur ses rivages pour y passer la nuit et y admirer le coucher de soleil. Au matin, nous avons de la compagnie pour le brunch : cygnes noirs, cormorans, canards et hérons sont de la partie. 🙂

Si hubiéramos considerado caminar por el Cruce alpino de Tongariro, hemos vuelto a ambiciones más modestas. En lugar de los más de diecinueve kilómetros entre los pies de dos volcanes, decidimos el primer paso, un viaje de ida y vuelta de aproximadamente nueve kilómetros a Soda Spring, au pied du Mont Ngauruhoe, un volcán activo 2 297 metros por encima del nivel del mar, lo más alto del macizo de Tongariro. Cuando lleguemos al Parque Nacional Tongariro, vemos humo saliendo de las laderas del volcán que dio nombre al parque y que alcanza su punto máximo en 2 291 metros. sí, todos siguen activos pero tranquilos desde 1977 para Ngauruhoe, 2012 para Tongariro y 1996 para Ruapehu.

Vous ne le reconnaîtrez probablement pas sur les photos, mais avec une ambiance plus sombre, un peu de lave et une haute tour noire surmontée d’un œil, c’est autour de la Montagne du Destin que nous marchons, celle où a été forgé l’anneau et où Frodo doit le détruire… Franchement il nous a fallu quatre jours pour venir là depuis la Comté, il n’y avait pas de quoi en faire une épopée d’environ six mois ! 😀 Et la marche est des plus sympathiques, même sous les nuages, pas un orque en vue. Au retour nous avons quelques aperçus du Mont Ruapehu tacheté de neige.

S’il se découvre un peu lorsque nous arrivons aux chutes d’eau, ce n’est que lorsque nous reprenons la route que nous pouvons enfin voir les bords de son cratère. Un poco mas al sur, une courte marche nous mène aux Tawhai Falls qui tombent de treize mètres et dans le bassin duquel des gens plongent d’un peu moins haut… C’est aussi un autre lieu de tournage où Gollum nage et pêche gaiement sous la menace des flèches des archers de Faramir. Oui la Nouvelle-Zélande est vraiment la Terre du Milieu. 😀

 

On croyait que l’Australie avait la palme d’or du nombre de cadavres d’animaux sur la route, que nenni ! Si ils sont bien plus grands – les kangourous australiens – les opossums et autres volatiles néo-zélandais sont bien plus nombreux à avoir senti la puissance destructrice de la plus ronde invention de l’homme, la roue.

 

Ça fait tâche.

 

Il faut dire que beaucoup de ces espèces de piafs s’amusent à traverser les autoroutes… à pattes ! Ils marchent ou sautillent à pieds joints, y, un peu comme un jeu de la mort, un défi aux carrosses liés à ce long bandeau d’asphalte, ils les évitent au dernier moment d’un air de dire – pourquoi freinez-vous ? Gâchez pas notre hobbit, euh hobby 😉

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