It is day when le fou bus Virak Buntham stops again ; half asleep we look out the window trying to determine if we arrived in Sihanoukville. The other passengers begin to stir, yes we arrived well. It was only seven in the morning but at the pace where the driver rolled it is not surprising that we have more than one hour ahead ! Head in the fog, we must get our luggage, retaining the pack of tuk-tuk, pick one, indicate the address of the hostel, negotiate the fare – what we become rather gifted, another tourist is stunned by the prices we obtain almost similar to his to a distance twice as long as he.
We are happy to have planned to stay out of the city because the only thought that comes when the tuk-tuk us away from the center “it's ugly” ! I still have to write you a little history about Sihanoukville : located at the tip of a peninsula in the Gulf of Thailand, it is the capital of the eponymous province and the only deep-water port in Cambodia. His original name is also Port Pleasant : Kampong Saom, it bears its new name since 1958 in honor of former Cambodian King Norodom Sihanouk, who incidentally shared the benches of the high school with one of my great aunts paternal ! 😎 L’un de mes oncles m’a raconté que ma grand-mère racontait – tradition orale à l’image des Khmers haha – que Norodom n’était pas toujours content, car ma grande-tante lui « volait » la première place de la classe. 😆
Une dizaine de kilomètres plus au sud, nous voilà en approche d’Otres Beach, deuxième du nom. Notre chauffeur nous laisse dans le hall ouvert de Footprints Beach Hostel où quelques personnes se trouvent déjà, certaines endormies à même les canapés. Nous nous voyons offrir un thé en attendant que l’accueil ouvre où nous avons la chance d’avoir tout de suite la clé d’une chambre libre. Les bagages posés, nous profitons du calme matinal pour traverser la route qui sépare le bâtiment des chambres de celui du dortoir sur pilotis au-dessus du bar et de la plage, vers laquelle nous nous dirigeons pour une marche sur le sable… entre les détritus. J’exagère à peine, nous trouvons même des sacs plastiques que nous remplissons sur le retour, ce sera au moins la part du colibri, car de l’autre côté de la plage c’est un mur de plastique qui se construit à l’embouchure du fleuve. 🙁
Malgré cela, le décor est sympathique, quoi qu’il ne le restera peut-être pas pour longtemps car derrière les huttes en bambou, au-dessus des toits de palmes, se dresse déjà l’ombre menaçante de futurs hôtels de luxe. Les touristes occidentaux – yes, yes, nous y compris – sont d’ailleurs déjà trop présents à notre goût. Nous discutons avec l’un des serveurs, la plupart travaillent en échange de l’hébergement, des repas et d’un petit salaire ; nous constaterons plus tard que ce ne sont effectivement pas des professionnels, vu la rapidité du service. 😀
Never mind, nous nous mettons en mode relax pour les deux jours à venir : repos dans la chambre, baignade l’après-midi dans une eau à la température idéale, bronzette sur la plage, billard, beer and cocktails bars attached feet in the sand overlooking the beautiful sunset where daytime star was gradually transformed into a glowing patch, from behind the clouds – or pollution ? – that one can look at without squinting, dinners in the moonlight…
16H30, I stroll, sure “plastic beach” (I exaggerate, but good), looking for a “happy hour” worthy of the name when my ear tilte ; Van Morrison has sent the signal : Poses yourself here. I sit and enjoy this impromptu DJ, a regular white corner, which beckons me to sit down with him, listen. The bar on the sand is shaped boat, the staff is very caring. Half the half dollar, un peu cher mais j’en prends plusieurs quand même, une clope relaxante que me propose mon nouvel ami et on admire ce superbe soleil descendant vers l’horizon, rougeoyant, voire carrément (enfin rondement) rouge ! Pur moment de tourisme de masse 🙂
PS : Pour les fêtards, c’est ici qu’il faut aller 😉
Amusante la citation. Je ne sais pas de quand elle date, mais aujourd’hui avec la crise du sable, il faudrait l’inverser. Ou préciser de ne pas construire avec le sable de la plage.
Ron, tu en prend plusieurs. Mais de quoi ? J’ai ma petite idée, mais le doute m’assaille quand même 😁.
Take care
Bisous de la Saint Patrick, les fêtards s’y retrouvent aussi..
Marc
Haha, tu répèteras à ma tante que je la remercie pour la précision sur ma grande-tante ! Pour la citation, c’est celle d’un architecte américain décédé en 2005.
Thank you ! Hélas je viens de me rendre compte qu’elle ne semble pas afficher les photos lorsque l’on visualise l’article sur un smartphone. 🙁
Aux Pays-Bas ils viennent d’ouvrir le premier supermarché presque sans plastique : toute une allée avec 700 produits proposés sans emballages inutiles. 😀
Ton nouveau site est facile à parcourir.
Encore plein de bisous à vous deux !
Thank you for your return on the new site theme. Kisses the suuuud !