« On peut s’arrêter quand on monte, jamais quand on descend. » Napoléon Bonaparte

Photo Mison

Retour à la case départ, vous ne touchez pas 200€ ! Plusieurs évènements familiaux nous retiennent sur la Côte, nous en profitons pour travailler un peu et passer la fête de la musique à Mandelieu-la-Napoule, Ronald jouant aux côtés d’Oliver Campana.

21 juin | 21h45

Côté de la scène

21 juin | 20h54

Mandelieu-la-Napoule

Avant de reprendre notre envol, je vous dois un petit flash-back sur notre retour du lac de Sainte-Croix ! Rentrés en zigzag le 1er juin, puisque nous nous sommes enfoncés dans les gorges du Verdon. Superbes panoramas jusqu’à la Palud-sur-Verdon où après une brève hésitation nous décidons de prendre la Route des Crêtes. Simple boucle qui revient au village mais qui offre de splendides vues sur le Verdon et alentours. Bien nous en a pris : nous avons eu la chance de pouvoir admirer un vautour fauve, rarement visible d’après les photographes avertis et aux aguets qui nous l’ont montré ! Pour le visuel, vous n’aurez par contre que le panneau explicatif que nous avons trouvé plus bas, mon petit bridge ne rivalisant pas avec leurs téléobjectifs monstrueux ! A force de virages, nous rejoignons la rivière à son niveau et passons près de Trigance, accroché à flan de colline dans l’ombre des murs de son château. Dernier arrêt à Comps-sur-Artuby où nous passons la nuit sur une aire gratuite. Un petit tour à Draguignan, Entrecasteaux et puis s’en vont… Voilà pour les premiers jours de juin.

1er juin | 14h33

Le Verdon, un peu plus haut

1er juin | 15h27

Retour au niveau du Verdon

Trois semaines en cale sèche pour appareiller de nouveau ce lundi 25 juin vers midi, sur les traces de Napoléon : Grasse, Saint-Vallier-de-Thiey (où nous étions déjà venus passer un week-end), Castellane, Digne-les-Bains (de loin !), Sisteron (joli !), Mison-les-Armands… petit village, tiens un lac, allons voir ! Deux kilomètres à peine à travers les pommiers de Mison et nous voilà au bord d’un plan d’eau entouré d’une superbe roselière où poussent quelques plantes rares et vivent plusieurs espèces d’oiseaux. Sur six, nous n’en verrons que la moitié : la foulque macroule, peu timide, la rousserolle turdoïde, trop vive pour que j’ai le temps de sortir l’appareil et le circaète Jean-le-Blanc au loin.

25 juin | 19h21

Fenêtre de la cuisine

26 juin | 10h32

Lac de Mison et montagnes

4 Comments on “« On peut s’arrêter quand on monte, jamais quand on descend. » Napoléon Bonaparte”

  1. Je vous suis à la trace cachée dans un recoin du camping car. Les photos et le texte m’enchantent. Bisous de Nanou
  2. Ahah la route Napoléon ! Justine et moi, on peut t’en parler… nous en avons des souvenirs… gerbants ! Périple en car entre Digne (où nous étions en prépa beaux arts) et Nice (où il y avait un musée à visiter, le MAMAC). Un car qui roulait à fond les ballons, tout proche du précipice (de la fenêtre, nous ne voyions même pas la route, directement le vide ! Mamamia !) + un mec particulièrement lourd qui nous à pas lâché du voyage. Résultat : arrivées à Digne (au retour), moi qui ne suis jamais malade en car ou en voiture, j’étais blanche comme un linge. Sans oublier, qu’au départ, à 6h du mat’, un autre gars de la classe nous a fait une crise d’épilepsie à peine monté dans le bus. J’te jure, le périple quoi ! Bref, ça forge des souvenirs quoi ! 😀
  3. Miam ! Pas de souci pour nous, nous ne l’avons pas suivie jusqu’au bout, mais pas de malades ! D’autres nouvelles bientôt ! 😉

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